Joël Mône

mon savoir-faire

JOËL MÔNE,

mes créations uniques

Mes vitraux sont toujours des créations uniques, mêlant des verres transparents, monochromes et dégradés, jouant sur la couleur et l’intensité. Ensemble, ils forment un arc-en-ciel qui réinterprète la lumière blanche. Leurs volumes émergent de perspectives fondées sur la position, la dimension, la clarté et la couleur, tout en s’écartant des principes coniques de Brunelleschi.

Symboliques ou figuratifs, ces vitraux racontent une histoire à construire avec les prescripteurs. Les arrière-plans reposent sur des motifs évolutifs, inspirés de la progression géométrique de la suite de Fibonacci. Les intensités variées et les matériaux nobles, précieux et onéreux, enrichissent l’ensemble.

En revanche, les sujets ou symboles religieux sont réalisés à partir de verres industriels, souvent issus de récupération, sans valeur marchande, privilégiant l’authenticité et le contraste.

Dans mon atelier, accompagné de mes compagnons, j’ai eu le privilège de restaurer de nombreux monuments historiques prestigieux, tout en poursuivant mes propres créations personnelles. L’observation attentive de ces vitraux anciens a affiné mon regard sur les nuances des verres colorés et leur subtile interaction.

Aujourd’hui, mon fils Jean Mône a repris l’atelier Vitrail Saint-Georges. Parmi ses réalisations marquantes, il compte notamment la restauration de 450 m² de vitraux de la cathédrale Notre-Dame de Paris et celle de la coupole des Galeries Lafayette.

L’atelier,

en image

L’histoire,

de l’atelier

L’apport novateur de mes vitraux vient de cet effet de perspective donné uniquement par la couleur et la transparence des verres.
Ainsi, l’impression curviligne est produite par le dégradé de teinte monochrome utilisé pour chaque vitrail.

Une technique qui implique bien évidemment une quantité impressionnante de verres différents.
Irrémédiablement, les scènes symboliques viendront accentuer cet effet.
Les vitraux sont très lumineux, car les verres utilisés sont totalement transparents. Ils ne comportent ni émaux ni grisailles.

La Perspective

de la transparence

L’apport novateur de mes vitraux vient de cet effet de perspective donné uniquement par la couleur et la transparence des verres. Ainsi, l’impression curviligne est produite par le dégradé de teinte monochrome utilisé pour chaque vitrail.

Une technique qui implique bien évidemment une quantité impressionnante de verres différents. Irrémédiablement, les scènes symboliques viendront accentuer cet effet.

Les vitraux sont très lumineux, car les verres utilisés sont totalement transparents. Ils ne comportent ni émaux ni grisailles. Ils proviennent pour l’essentiel de la verrerie de St Just dans la Loire.

Quant au réseau de plombs, il est constitué de baguettes ayant des largeurs différentes qui suivent, par leurs tailles, la progression géométrique, suite de Fibonacci.